ventes de châteaux Haute-Garonne, France (page 2)

À 30 min du centre-ville de Toulouse, en pleine campagne, un château du 19e s , sa verrière et son parc boisé. C'est par un chemin de terre bordé d’arbres centenaires que s'opère l'accès à la propriété et par un portail en fer que se fait l'entrée en son sein. Soutenues par deux colonnes romaines, ornées de chapiteaux surmontés de vasques antiques en terre cuite, les grilles s’ouvrent sur une allée, bordée de quatre ifs, qui mène au château. Cette partie introductive du parc, close par un muret surmonté de grilles, permet de stationner plusieurs véhicules. Au cœur de la propriété, un corps central et deux ailes encadrent une cour d’honneur rectangulaire orientée plein ouest, pavée en galets de Garonne et occupée par un terre-plein en son centre, où la végétation a pris ses droits. Déjà présent sur le premier cadastre français de la région élaboré en 1825, l’édifice d'origine était une ferme. L’existence de trois cèdres tricentenaires alignés dans le parc donne à penser que les premiers propriétaires étaient protestants. Castellisé entre 1870 et 1875 par le rehaussement d’un étage et l’adjonction d’éléments décoratifs d’inspiration néo-classique et néo-gothique, le bâtiment principal comprend quatre niveaux. Flanquées de quatre échauguettes, ses façades symétriques sont rythmées par une alternance de baies cintrées et droites, avec encadrements de briques et contrevents en bois peint en bleu clair. Deux corniches également en brique rouge marquent les séparations entre les trois niveaux. Devant les baies en plein cintre qui donnent sur la cour d’honneur ou sur le parc, figurent des balcons avec garde-corps en fer forgé. Le toit à quatre pans est en ardoise. Chacune des deux ailes du château est élevée de deux niveaux, couverte d'une toiture à deux pans en tuile canal et présente à son extrémité ouest un fronton surmonté de pignes de pin en terre cuite. Celle au nord abrite une galerie, une salle de réception et une mezzanine qui ouvre sur un long balcon ; celle au sud une vaste verrière et un gîte avec terrasse indépendante. Deux extensions latérales, couvertes de toitures en tuile canal, assurent la jonction entre le corps principal et les ailes. L’ensemble des murs est couvert d’un enduit jaune clair, ajoutant aux couleurs des pieds de vigne qui serpentent sur les façades et des buissons fleuris de la cour d’honneur. Enfin, le château est entouré d’un parc de 8 000 m² où se trouve une dépendance qui abrite une grande piscine.

À 40 km au sud de Toulouse, un château du 19ème siècle et ses dépendances dans un parc de 4 ha. Le domaine d’Ampouillac constitué de terres et maisons est connu sous ce nom dès le 10e siècle. D’abord annexé au monastère de Cuxa, le domaine et le prieuré furent rattachés en 1209 à l’abbaye de Boulbonne crée en 1129 près de Mazères. Les moines de cette abbaye cistercienne exploitaient les terres d’Ampouillac et celles d’autres domaines contigus – le Baissac, Artenac – et plusieurs autres. L’éloignement de Mazères imposa aux moines la construction de bâtiments leur permettant de se loger sur les terres qu’ils exploitaient. Ces bâtiments, appelés granges cisterciennes et resteront la propriété de l’abbaye de Boulbonne jusqu’à la Révolution. Ampouillac subit alors les désordres révolutionnaires et fut partiellement détruit. Demeuraient l’entresol de la « grange » et l’actuel rez-de-chaussée. En témoignent l’architecture et l’épaisseur des murs. En 1791, Ampouillac, déclaré Bien National, est vendu. L’acquéreur le releva de ses ruines ainsi qu’il est exposé sur la plaque dans l’escalier. C’est à cette époque aussi qu’a été aménagé et décoré le salon du premier étage. Ampouillac resta la propriété de la même famille jusqu’en 1879 et a été vendu à un industriel toulousain., Actuellement, l'édifice s'élève sur trois niveaux caves, celles-ci étant les anciennes granges cisterciennes du 11ème siècle.

Dans le Lauragais à 45 min au sud-est de Toulouse, un château du 15e s , ses trois gîtes et ses 6,5 ha de parc, de bois et de prairies. Depuis une petite route communale, l'entrée dans la propriété s'effectue par un portail qui ouvre sur un espace gravillonné occupé en ses bords par le château et les trois gîtes. La propriété comprend 6,5 ha de parc, de bois et de prairies. Les bâtiments qui constituent le château et ceux qui abritent les gîtes forment deux axes perpendiculaires qui structurent le domaine, organisent la circulation extérieure et rendent les habitats relativement indépendants. Les façades, orientées dans des directions distinctes, sont tournées vers l'horizon. Seule la façade arrière des dépendances regarde une élévation latérale du château, avec laquelle elle délimite une cour bordée de bosquets arborés et de haies arbustives. Deux piscines ont été bâties à proximité respectivement du château et des gîtes. Les origines du domaine remontent à 1492. Sur ordre de Louis XIV, l'édifice castral a été agrandi puis habité par la comtesse de Toulouse. Remanié aux siècles suivants, le corps principal de bâtiment, élevé de trois niveaux, a cependant gardé son allure médiévale : flanqué d'une tour ronde, avec élévations en pierres calcaires posées à joints vifs, il affiche une façade principale rythmée par la symétrie parfaite de ses baies. Ces dernières sont cintrées, avec encadrements en pierre de taille, huisseries en bois et contrevents peints en blanc. La façade tournée vers le parc est sensiblement différente, avec des baies également en plein cintre, disposées autour de plusieurs axes de symétrie, et des extensions qui s'y adossent : deux orangeries, construites aux extrémités du corps principal. Strictement identiques, élevées d'un niveau et éclairées par des verrières à petits carreaux, celles-ci abritent aujourd’hui de multiples espèces de plantes. Les dépendances forment quatre bâtiments en enfilade élevés d'un niveau, construits dans la pente et de hauteurs légèrement distinctes. Les baies, à disposition asymétrique, sont de formes, de tailles et de matériaux divers. Les toitures des divers bâtiments du domaine, à un ou deux pans, sont en tuile canal, surmontées de multiples cheminées en brique.

SOUVENIR DU COMTE DE CHAMBORD PRETENDANT AU TRÔNE DE FRANCE - CHÂTEAU BÂTI EN 1867 - PARFAIT ETAT - SOMPTUEUSE DECORATION INTERIEURE - 13 CHAMBRES - AU PIED DES PYRENEES - 1,9HA - HAUTE-GARONNE - OCCITANIE. Au pied des Pyrénées, ce château en parfait état à l'architecture typiquement Napoléon III, arbore de nombreuses références à la monarchie Française et plus précisément au comte de Chambord, prétendant au trône de France sous le nom d'Henri V. Il a bénéficié ces dernière années d'importants travaux de restauration dans les règles de l'art et se présente aujourd'hui en parfait état. ?uvre de l'architecte Azibert, ce château de plan carré, arbore une travée centrale très richement sculptée de lions encadrant les armoiries monumentales de la famille commanditaire du château en 1867. La face avant est ornée de deux échauguettes, la face arrière d'une tour polygonales. Sur toutes les faces nous retrouvons de nombreuses lucarnes en pierre très richement sculptées de pinacles. L'intérieur de cette maison arbore une somptueuse décoration dans un remarquable état d'authenticité, récemment restaurée dans les règles de l'art. Le hall d'entrée au sol de cabochons noir et blanc en marbre et schiste est orné de somptueuses peintures de fleurs dans de grand médaillons ovales d'une qualité remarquable, typiquement Napoléon III, dans un grand décor de trompe l'œil peint, le plafond également peint de fleurs et de moulures polychromes. Le grand salon arbore une très riche décoration stuquée et peinte sur le thème de la monarchie Française, une cheminée en marbre ornée de fleurs de lys, rinceaux d'acanthes, armoiries d'alliance des bâtisseurs sous couronne de marquis. Le trumeau orné des grandes armes de France sous couronne royale encadrées des portraits en médaillons du roi Louis XVI et de la reine Marie-Antoinette. Les dessus de portes ornés de fleur de lys surdimensionnées dans des frontons brisés très architecturés. Superbe corniche en stuc de consoles et de fleurs. Parquet à bâtons rompus. Le petit salon décoré d'une cheminée en marbre blanc, le trumeau est orné de fleurs de lys encadrant le portrait en médaillon du comte de Chambord, prétendant au trône de France sous le nom d'Henri V. Parquet à bâtons rompus. La salle à manger est décorée d'une cheminée en marbre à pattes de lion, d'un beau plafond de stucs polychromes, parquet bâtons rompus. Cabinet pour se laver les mains. Une belle cuisine avec un accès indépendant, une grande cheminée. Equipements de qualité, placards en chêne. Arrière cuisine, accès à la cave. Une chambre à la belle décoration, plancher, cheminée, moulures. Une salle de bain avec WC. Un bureau orné d'un papier peint à motifs de châle en cachemire, moulures, cheminée, accès vers l'extérieur. Le hall d'escalier dans la tour, au superbe décor de faux marbre. WC. Au premier étage, le vaste hall est orné de vitraux, bas lambris, plancher, moulures polychromes. Au premier étage, 6 chambres très bien décorées, plancher, moulures, cheminées, 4 salles de bains assez grande et de belle facture. Une lingerie. Au deuxième étage, un grand hall, 5 chambres plus une chambre au sommet de la tour. 2 salles de bain. Une grande salle de jeu. Un salon bibliothèque. Un grand grenier à la belle charpente. Une grande cave exceptionnellement saine, avec un accès intérieur et un accès extérieur, cave à vin, buanderie chaufferie, réserves. Parc de 1,9 hectare clos de murs en bon état, planté de très beaux arbres, tilleuls taillés en têtard, exceptionnel camélia, cèdre. Grille d'accès sur l'arrière. Chapelle privée au très beau décor polychrome peint. Piscine à remettre en route. Beaux piliers d'accès, droit d'accès par une servitude par une somptueuse entrée en hémicycle ornée de piliers en pierre sommés de putti sculptés. Chauffage central fioul, installation de qualité entretenue. Situation : -6km, premiers commerces, supermarché. -8km, Saint-Gaudens, tous commerces et service gare, Toulouse à 1h10. -62km, Tarbes. -100km, Toulouse. Gare TGV, aéroport. Prix : 1 393 600 Euros honoraires inclus (honoraires à la charge du vendeur). Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr

Ce château Palladien de 1818, chargé de 200 ans d'histoire, a fait l'objet d'une rénovation monumentale et irréprochable, jusque dans les moindres détails. Environ 1500m² de bâtis, 14 hectares de terres dont 4 hectares de parc classé composé d'arbres centenaires et d'essences rares, voici une propriété hors normes classée monument de France. Le Château se compose d'un impressionnant hall d'entrée de plus de 75m² avec un magistral escalier à double révolution, dont les somptueuses peintures aux plafonds ont été restaurées avec des techniques modernes par des artisans d'art; 9 suites toutes ouvertes sur le parc; 5 salons avec moulures, peintures et cheminées d'époque; cuisine semi professionnelle; bar; salle de réception de plus de 500m²; bureaux; hammam et salle de massage; cave à vin: L'hédonisme et la perfection sont au cœur de ce projet qui a représenté un véritable défi. Chaque objet de décoration et chacun des matériaux ont été choisi dans le haut de gamme pour un confort optimal avec le souci permanent de mêler harmonieusement l'ancien et le moderne. A proximité de Toulouse dans un environnement verdoyant et préservé, cette demeure de prestige a été révélé par un maître d'œuvre soucieux de la cohérence d'un projet architectural et paysagé ambitieux, dans le respect de l'histoire des lieux. Quand un propriétaire passionné d'art et d'histoire, pointilleux et minutieux, envisage puis concrétise une rénovation à son image, le résultat frôle l'excellence tout comme l'est ce bien de prestige. A 30 minutes de l'aéroport international de Toulouse, 1h30 de la mer méditerranée et 2h30 des plus grandes stations de ski Pyrénéennes. Plus d'information sur demande.