ventes immobilier de luxe à Beaucaire, France

A 15 minutes d'Avignon TGV et 1 heure de l'aéroport de Marseille, au coeur de la ville de Tarascon, au calme, vaste Hôtel particulier du XVIIème siècle ayant survécu aux bombardements de la seconde guerre mondiale. Bien que non classé MH, son histoire et ses éléments architecturaux sauront séduire les plus esthètes : belles hauteurs sous plafond, salles voûtées, escalier en pierre, parquet en chêne. L'ensemble développe 1 500 m2 et forme un L ouvrant sur une cour privative de près de 235 m2 avec espace paysager, fontaine et accès à une piscine intérieure chauffée. L'hôtel dispose de cinq entrées indépendantes, totalise 11 chambres et est aménagé en différents espaces (appartements, bureaux, salle de réception). Au rez-de-chaussée, les anciens salons de réception, vastes salles voûtées, accueillent aujourd'hui des locaux professionnels qui pourront être réaménagés à souhait. Un loft et un garage de 100 m2 complètent l'ensemble. Ils ont servi entre le XVIIème et le XIXème siècle, comme relais de poste pour la diligence de Vallabrègues et comme écuries. Tarascon, par la richesse de son patrimoine, sa situation idéale entre Avignon et Arles et sa proximité avec le Parc Naturel des Alpilles (20 minutes) est une destination prisée des amateurs d'Histoire, des passionnés d'art et de culture et des amoureux de la Provence (ruelles pittoresques, marchés animés, festivals...) Elégance et raffinement pour cet ensemble qui pourra répondre à de multiples projets.

Entre Arles et Avignon, une maison de village du 19e s de 280 m², avec sa cour jardin et sa terrasse, à rénover. Établie dans le quartier Saint-Nicolas dit 'des Prêcheurs', l'habitation est une maison de village provençale on ne peut plus traditionnelle, occupée durant un siècle par plusieurs générations de commerçants locaux. Elle fut sans doute érigée entre la Révolution et le Directoire, au moment où la bourgeoisie marchande commençait à prendre son essor et à s’enrichir grâce aux célèbres foires et marchés locaux. La façade, entièrement restaurée, avec un crépi à l’ancienne dit 'à la taloche' au rez-de-chaussée, laisse apparaitre un appareil régulier en pierre calcaire jointée aux premier et second étages. Comme la plupart des maisons de ce quartier historique, l'habitation a été bâtie en pierre calcaire de Fontvieille, sur les vestiges de constructions médiévales et romaines préexistantes. Du Moyen Âge, elle a conservé, à l’intérieur, plusieurs éléments originels dont un appareil régulier omniprésent sur les murs porteurs, de solides linteaux de porte en arcature et d'intrigants passages voûtés. Elle donne fièrement à voir, depuis la rue, ses imposants contrevents à double épaisseur, en bois peint dans le goût arlésien, si caractéristiques du savoir-faire ancestral du royaume de Provence. Détail d'intérêt : celui qui se trouve au-dessus de la porte d'entrée a conservé son guichet ou 'judas' qui servait, tous volets clos, à voir qui toquait à la porte sans être vu. La maison est située dans une rue piétonne calme en plein centre-village, partie intégrante d’un alignement symétrique qui définit une perspective urbaine particulièrement harmonieuse : le théâtre de style baroque établi dans l'ancienne chapelle des frères prêcheurs et sa place, récemment réhabilités avec attention, tiennent une compagnie bienveillante aux maisons bourgeoises de l'artère qu'elles bordent. S'y tient aussi le vaisseau amiral d’une célèbre marque de tissus provençaux dont Tarascon est le berceau historique. La toiture en tuile romaine ancienne a été restaurée. L'intérieur est, en grande partie, à rénover.

En Provence camarguaise, dans un hôtel particulier du 16e s classé MH, un appartement de 400 m², sa cour d’honneur, son jardin intérieur et patio. Classée MH en 1943, en pleine Seconde Guerre mondiale, la fière maison fortifiée à usage d‘hôtel particulier, élevée de deux étages sur rez-de-chaussée, fut construite vers 1530 sous la Première Renaissance française dont elle adopte la majeure partie des caractéristiques. La maison se trouve à la croisée de plusieurs chemins de l’histoire. Et ceci aussi bien au sens propre qu’au figuré, comme si le symbole s’était mis en devoir de rejoindre la réalité. Située sur le flanc sud de la collégiale Sainte-Marthe et du château fort du roi René, la maison fut le fleuron du quartier aristocratique de la ville médiévale, qui offrait alors aux regards ses plus belles résidences princières, jusqu’à ce que les bombardements alliés de la Libération les rasent en totalité. Seule survivante de ce passé royal au milieu d’un champ de ruines, elle dut dans les années 1950 s’arranger des barres d’immeubles en béton que la fièvre de la reconstruction disposa un peu partout au sein de la France libérée, dans l’urgence du relogement sur le modèle de Le Corbusier. L’hôtel particulier se trouve donc aujourd’hui exactement à la jonction de deux mondes, le médiéval et le moderne, au cœur de l‘histoire de France, qu‘il illustre d’une façon particulièrement émouvante, tournant le dos au château royal et s’ouvrant sur un type d'habitat voulu pour le futur. Protégé par ses hauts murs hérités de sa première affectation de maison forte qui l'isolait du siège de la royauté tout proche – mais aussi des crues alors dévastatrices du Rhône –, il fait exactement face aux 'barres brutalistes' des années 1950, sa façade principale étant orientée au midi et au levant. Pour atténuer ce face-à-face architectural incontournable et cinglant, les édiles s'occupent à végétaliser avec force cyprès et oliviers une place pavée de belles proportions, désormais interdite au stationnement, qui allait jusqu'alors à vau-l'eau. C’est là que s’ouvre le grand portail de la cour d’honneur de ce palais à l'allure si italienne.

Magnifique Hôtel particulier du XVIIIè siècle, empreint de prestige et d'histoire. Au rez-de-chaussée une entrée majestueuse vous accueille, menant à deux salons, dont l'un agrémenté d'une cheminée, ainsi qu'une cuisine spacieuse et une salle à manger lumineuse donnant sur une terrasse ensoleillée, un bassin de nage ajoute une touche de luxe à cet extérieur idéal pour se détendre en toute tranquillité. Au premier étage, deux salons dont l'un orné d'une cheminée, offrent des espaces de détente et de réception raffinés. Trois chambres et deux salles de bains complètent cet étage, offrant confort et intimité à ses résidents. Au deuxième étage, un salon avec cheminée vous invite à la relaxation, tandis que trois chambres et deux salles de bains assurent un cadre de vie luxueux et harmonieux. Cette demeure d'exception allie charme d'antan et commodités moderne, offrant un cadre de vie incomparable au coeur d'un environnement historique. Une opportunité unique d'acquérir une propriété de prestige, où chaque pièce raconte une histoire et invite à la sérénité. N'hésitez pas à me contacter pour de plus amples informations.

Aux portes de la Camargue, à deux pas d'un château royal médiéval, un vaste hôtel particulier du 17e s , ses dépendances et son jardin. Ni inscrit ni classé MH, cet imposant hôtel particulier est un miraculeux rescapé de la Seconde Guerre mondiale. Lors des combats pour la Libération en Provence, Tarascon, en raison de sa position stratégique au bord du Rhône, fut durement touchée par les bombardements aériens alliés et amputée d’un cinquième de sa surface. Toute la portion de la ville située entre la gare et le pont sur le Rhône fut rasée. Le cours National – que l'on prononce ici 'course' –, aménagé en 1862 dans la tradition provençale pour en faire un vaste espace d’agrément, de sociabilité et de commerces, n'y échappa point. La rumeur veut que l'hôtel épargné ait hébergé, au 18e s., des membres de la famille de l'explorateur et officier de marine Jean-François de Lapérouse, ce qui lui a valu, pendant un temps, le surnom d''Hôtel de Lapérouse'. Cependant, jamais un document n'est venu étayer ce récit. Visiblement, le nom de la famille qui l'a originellement édifié s'est perdu dans les arcanes de l'histoire provençale, à tout jamais. L'hôtel particulier fut probablement vendu comme bien national sous la Révolution à des commerçants locaux ; ceux-ci et d'autres qui suivirent l'ont exploité comme immeuble de rapport et d'habitation avec commerces au rez-de-chaussée pendant tout le 19e s. et la première moitié du 20e s. Aujourd'hui, au rez-de-chaussée, des locaux professionnels ont succédé aux salons de réception d'antan. Les dépendances servirent quant à elles, entre les 17e et 19e s., de relais de poste à la diligence de Vallabrègues. Elles ont été transformées en divers locaux, appartements, garage, et en un loft qui s'épanouit sous les voûtes parfaitement restaurées des anciennes écuries. L'ensemble immobilier – hôtel particulier et extensions – dispose de cinq entrées indépendantes ouvrant sur le cours et sur une petite rue perpendiculaire dont il occupe l'angle et une bonne partie de la longueur.

À Tarascon, des bâtiments conventuels du 17e s reconvertis en maison avec cour-jardin, piscine, studio indépendant et vue panoramique. La maison se trouve dans le voisinage immédiat de l’un des monuments religieux les plus emblématiques de la cité : la chapelle de la Persévérance. La façade du lieu de culte constitue une expression exemplaire de l'architecture baroque avec son portail en cintre surbaissé, encadré par deux pilastres à chapiteaux ioniques agrémentés de guirlandes de fleurs et d'un entablement avec architrave à trois faces, frise et corniche sur modillons. La maison et ses dépendances, directement accolées à la chapelle, laissent peu de doutes quant à son affectation originelle de bâtiment conventuel. La maison en conserve d’ailleurs toujours quelques traces, surtout dans le décor des voûtes du rez-de-chaussée. Fondée en 1677 pour accueillir les 'filles de mauvaise vie', la chapelle et l’établissement qui lui était attaché furent confiés aux bons soins des sœurs de Notre-Dame du Refuge. Comme la plupart des établissements de ce type, issus du régime de la commende royale, cet énième 'couvent des filles repenties' fut un échec moral retentissant et se transforma assez rapidement en un 'lieu de perdition' célèbre. Un demi-siècle à peine lui fut nécessaire pour passer du statut de couvent à celui de bordel. Tant et si bien que ce lieu très repéré fut contraint de fermer sur ordonnance royale, dès l’avènement de Louis XVI en 1774, une bonne quinzaine d’années avant la Révolution. En 1803, sous le Premier Empire, les modestes bâtiments conventuels que comportait l‘établissement furent vendus comme biens nationaux à usage d’étables. Ce sont eux que l’on retrouve en partie dans la maison actuelle. La chapelle, quant à elle, fut affectée au catéchisme dit de 'persévérance', un enseignement approfondi des écritures que suivaient autrefois les enfants après leur communion solennelle – histoire dont son nom actuel porte témoignage. Aujourd‘hui, elle abrite plusieurs fois par an des expositions d'art contemporain qui fournissent les rares occasions de la visiter et de contempler son riche décor baroque.

En Provence camarguaise, dans un couvent du 16e s entièrement rénové, une demeure de caractère de 600 m² au calme de ses cours arborées. Longtemps demeuré en ruine, le couvent, tout à fait imposant, a été presque totalement restauré à la fin du 20e s., grâce à des initiatives privées. Une opération immobilière en a alors partagé la superficie en plusieurs demeures de caractère, réunies dans un clos arboré qui allait redonner vie à l’ancien cloitre. L'une de ses deux entrées, du côté du logis de la mère abbesse, s'ouvre sur une ruelle alors que l'autre, monumentale et voûtée, est désormais fermée par une grille. La demeure, d'environ 600 m², aménagée dans la partie la plus noble des bâtiments conventuels, en occupe à peine le quart, proportion qui traduit à elle seule le gigantisme originel de l'édifice. Les habitations voisines sont occupées par des amoureux du patrimoine bâti soucieux de faire du clos en plein centre-ville où elles sont établies l’un des lieux les plus calmes et secrets de Tarascon. Les vestiges de l’ancien couvent se mêlent aujourd’hui à ceux de l’hôpital médiéval qui lui préexistaient et dont il n’est pas rare de découvrir, au détour d’un escalier ou d’une fenêtre, une modénature restante, témoin des bouleversements historiques qui ont frappé la cité de Tarascon. C'est au 16e s. que la ville décida de créer un nouvel l'hôpital puis céda aux Ursulines les locaux de l’ancien hôpital Saint-Nicolas, construit au 11e s. pour l'accueil des pauvres et les soins des malades. Il avait été construit à l'initiative de la comtesse Étiennette de Provence et sa chapelle consacrée par le pape Urbain II au retour de la première croisade. En 1657, des religieuses du même ordre créèrent à leur tour, dans l'ancienne gâche de Saint-Nicolas, leur propre institution pour l'instruction gratuite des jeunes filles. L'ordre des Ursulines, tout d'abord appelé 'Compagnie de Sainte-Ursule', fut fondé en Italie en 1535, par sainte Angèle Merici. Arrivé en France presque immédiatement après sa fondation, il s'installa progressivement dans le Comtat Venaissin ainsi qu'à Bordeaux.

Nous sommes ravis de vous présenter une opportunité rare sur le marché immobilier : un immeuble d'exception niché au coeur de Tarascon, datant du fin XVIIIe siècle. Cette magnifique propriété en pierre, parfaitement entretenue, offre une occasion unique d'investissement dans une ville chargée d'histoire et de charme. Caractéristiques principales : Localisation idéale : Situé dans le centre ville de Tarascon, cet immeuble bénéficie d'un emplacement privilégié, à proximité des commodités, des commerces et des transports en commun. Architecture remarquable : Construit au XVIIIe siècle, cet immeuble en pierre témoigne du patrimoine architectural de la région, offrant un cachet authentique et une allure élégante. Indépendance : Non soumis au régime de copropriété, cet immeuble garantit une gestion simplifiée et une liberté d'administration pour son futur propriétaire. Composition des logements : L'immeuble se compose de 4 appartements de type T3, 1 appartement de type T2 et un studio. Le T3 du rdc dispose d'une cour intérieure de 16m2 offrant une variété de configurations adaptées à différents besoins. Rentabilité attractive : Actuellement entièrement loué, cet ensemble génère des revenus locatifs mensuels significatifs, s'élevant à 3326,34 euros. Opportunité d'Investissement : Que vous soyez un investisseur chevronné à la recherche d'un placement rentable ou un acquéreur en quête d'une résidence principale offrant un potentiel locatif, cet immeuble saura répondre à vos attentes. Son emplacement privilégié, son charme historique et sa rentabilité font de cette propriété une opportunité rare sur le marché immobilier de Tarascon. Ne laissez pas passer cette occasion unique d'acquérir un bien d'exception dans l'une des villes les plus pittoresques de la région. Contactez-nous dès maintenant pour organiser une visite et découvrir tout le potentiel de cette propriété unique.

À 15 min d'Avignon TGV, une bastide du 18e s de 600 m², sa piscine naturelle, son parc et son domaine oléicole de 19 ha. Voilà une bastide dont l'histoire ne se dévoile pas facilement. Son nom provençal, qui signifie 'conserver et respecter', peut aussi faire allusion à une fonction maçonnique effective au sein des loges au 18e s., disparue depuis. Et c'est précisément à cette époque que la bastide a été construite, sans doute sur des fondations médiévales pré-existantes. Un signe, apposé au centre de la majestueuse grille d’entrée du parc, en fer forgé, ajoute au trouble déjà semé : un hexagramme, ou 'étoile de David', donnant à supposer que le domaine aurait pu appartenir à un banquier juif au service de la papauté avignonnaise. Aucune archive ne vient cependant étayer ladite hypothèse, devenue légende locale. Rappelons d'ailleurs que l’hexagramme est une figure décorative présente aussi bien dans la symbolique architecturale chrétienne qu’hindoue, japonaise ou arabe pré-islamique ; les six branches de l'étoile y figurent les six jours de travail, le septième jour, celui du repos, occupant précisément le centre évidé de la géométrie. La demeure, entourée d'un parc arboré de 4 ha environ, est située à l’extrémité sud-est d'une oliveraie de 15 ha environ, traversée de chemins en damiers. Certains sentiers de terre tutoient l'une des hautes digues protégeant la propriété, située dans le voisinage du Rhône, qui assure à tout le domaine une richesse très enviée en limons et un approvisionnement constant en arrosage. La bastide, à la fois résidence aristocratique et habitation agricole, présente toutes les caractéristiques propres à son genre architectural. La construction d'un tel ensemble s'étalant toujours dans le temps, deux petits corps de bâtiment plus bas furent accolés, au début du 19e s., dans le prolongement du bâti bourgeois carré du 18e s. Non loin, une dépendance de la fin du 19e s., de niveau unique et à usage de maison de gardien, assure la préservation, à distance, de la paix de la bastide, véritable 'demeure de maître' en son domaine.

Dans Tarascon intra-muros, au calme de l'artère la plus noble, un petit hôtel particulier du 18e s , concentré autour de son patio. Dès le 15e s., la prospérité de Tarascon attira l'installation de nombreuses familles : aristocrates aussi bien que bourgeois, commerçants et membres du clergé y firent élever de belles demeures particulières, soucieux de marquer le bourg de leur empreinte. Présentant souvent des élévations monumentales, richement ornées sur le mode du maniérisme provençal qui triompha au 17e s., les hôtels particuliers tarasconnais peuvent aussi être austères et de surfaces modestes. En réalité, depuis le Moyen Âge, un hôtel particulier est caractérisé comme une demeure urbaine occupée par un unique propriétaire, la taille intervient donc pour peu dans la définition de son identité. C'est surtout à partir du 18e s. que les petits hôtels particuliers – de moins de 300 m² – s'épanouissent dans les rues commerçantes de l'intra-muros, toujours à l'abri du mistral glacial l'hiver et du soleil brûlant l’été. Érigés pour des commerçants aisés plutôt que pour des princes de l’Église ou des couronnes fermées, ils présentent une architecture qui les rapproche davantage des maisons de notables que des arrogants palais. Les bombardements de la Seconde Guerre mondiale qui ont durement frappé Tarascon ont épargné presque la totalité de ces hôtels, chanceux d’avoir été implantés à l'écart de la voie ferrée stratégique qui longe la ville et du pont qui traverse le Rhône. Souvent construits sur les ruines d'édifices du Moyen Âge ou de l'Antiquité romaine, ils adoptent tous, peu ou prou, les mêmes plans. Et tous utilisent les mêmes matériaux nobles : toit en tuiles canal anciennes, grands dallages en pierre grise de Barbentane, ferronneries ouvragées à motifs végétaux en garniture d'huisseries, murs en pierre calcaire des Baux-de-Provence et des carrières de Fontvieille, avec réemploi fréquent de fragments de fûts de colonnes antiques – la réutilisation des matériaux issus des vestiges sur lesquels est érigée la construction constitue ici une constante.

Entre Alpilles et Camargue, un mas fortifié du 17e s à rénover, son pigeonnier, ses dépendances aménageables. Gravée dans la pierre au-dessus du porche d'entrée, la date de 1633 pourrait être trompeuse : avec son chemin de ronde aux corbeaux apparents, l'antique muraille défensive en pierre des carrières de Fontvieille est probablement bien antérieure. La lourde porte en chêne est aujourd'hui doublée d'une grille. Deux granges anciennes, dont l'une fut probablement un oratoire, encadrent le corps de logis principal, orienté nord-est/sud-ouest. Sur les murs extérieurs de la fortification sont inscrits dans la pierre calcaire des ex-voto animaliers ; ils témoignent de l'époque où la « bouvine » connut son âge d'or, sous l'impulsion du « gentilhomme-gardian » Folco de Baroncelli. Dans l'ancienne fenière, les poutres en douglas aux teintes rosées soutiennent une couverture en tuile canal intégralement restaurée. En fermeture d'avant-toit, une génoise traditionnelle à trois rangs se termine en encorbellement. Quelques ouvertures protégées par des contrevents à un seul vantail égayent le corps principal de logis. Un pigeonnier et son toit à quatre pans disposé en ponctuation d'un mur d'angle signalent l'appartenance aristocratique de la famille qui construisit et occupa le domaine plusieurs siècles durant.

Dans le centre historique de Tarascon, une maison de la fin du 18e s entièrement réhabilitée, avec ses trois patios en enfilade. 'Pour vivre heureux vivons cachés' fut la devise des nombreuses personnalités qui se sont depuis toujours réfugiées derrière les épais murs des maisons de Tarascon. Dans le secret des cours formées à la faveur d’un coin de rue médiévale, à l’ombre d’une église ou d’un amas de lauriers, elles sont toujours là, ces maisons discrètes et muettes qui, sitôt la porte poussée, s’ouvrent sur autant de jardins luxuriants ou de rafraîchissantes courettes aménagées. Jouxtant des hôtels particuliers de toutes tailles, des plus sophistiqués aux plus discrets, tutoyant d’anciens couvents, comme ces solides bâtisses de riches commerçants qui 'tartarinent' sous le nez des vastes portiques Renaissance, s'y découvrent aussi avec surprise les habitats plus modestes des pêcheurs du Rhône et leur charme indicible qui suscite depuis peu un intérêt très marqué. C’est le cas de cette maison tout en discrétion. Comme bien d'autres alentour, elle fut érigée à la fin du 18e s. pour des pêcheurs dont le Rhône était le garde-manger. Petits logis en pierres issues des carrières de Boulbon et de Fontvieille ou en blocs récupérés sur des monuments antiques et recouverts d’un enduit pâle, ils sont généralement élevés de deux niveaux. Leurs façades sont percées de baies généreuses et délimitées par une fenêtre de part et d’autre de la porte d’entrée et deux à l’étage. Pour peu qu'une attention aimante leur soit portée, ils présentent, avec leurs patios multiples, leurs cours intérieures en enfilade et leurs beaux matériaux anciens, des possibilités insoupçonnées.

En exclusivité Pour les chercheurs de belles pierres vous serrez très vite séduits par cet hôtel particulier du 18ème siècle situé très au calme dans le coeur historique de Tarascon . Cet hôtel particulier à l'immense avantage de disposer d'un garage interieur et d'un jardin paysagé . on y trouvera 7 chambres et 5 salles d'eau et il est possible de très facilement en aménager d'autres . Ce bien a fait l'objet d'une restauration soigneuse . A découvrir absolument . ref: LS 24 17-57 Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr Bien classé DPE : D et GES : D Prix : 750000 Euros FAI Laurent SIMON (EI) Agent Commercial - Numéro RSAC : - .

Notre agence immobilière a soigneusement sélectionné pour vous cet Hôtel Particulier de caractère au cœur de la ville historique de Tarascon, à seulement 15 minutes de la Gare TGV d'Avignon. S'étendant sur environ 500 m² de tranquillité et agrémentés de 100 m² de terrasses et patios qui garantissent votre intimité, ces espaces sont de véritables invitations à la détente, parfait pour s’évader du quotidien. Le domaine se démarque par ses 6 Suites, 3 chambres, et des pièces de vie spacieuses et lumineuses, favorisant la convivialité et l'échange. L'architecture de la propriété, dotée de deux escaliers, offre une modularité des espaces qui vous donne la liberté d'adapter la maison à vos rêves. Idéal pour se ressourcer, ce lieu se prête parfaitement à un projet de chambres d’hôtes de charme et offre également la possibilité de se transformer en une majestueuse demeure familiale en adéquation avec vos aspirations. Ne manquez pas cette occasion rare d'acquérir un Hôtel Particulier chargé d'histoire ! Hôtel Particulier à Vendre à Tarascon.

Von Peerc vous présente un magnifique immeuble en centre ville de Tarascon, un ancien hôtel particulier du XVIe/XVIIe siècle avec une histoire et une architecture remarquables. Avec 1 541 m2 de bâti sur une surface totale de 1839 m2 avec un jardin de 233m2. Il se compose d’une majestueuse entrée, d’une piscine intérieure chauffée, de deux grands appartements lumineux, un loft avec son plafond vouté, un garage et son grenier, une dépendance, ainsi que 3 locaux professionnels. Cette propriété offre de nombreuses possibilités, que ce soit pour de la résidence privée, de la conversion en espaces professionnels, ou d'autres projets. Tarascon est une destination attrayante en raison de son patrimoine, de sa proximité avec Avignon et sa gare tgv (20min), Arles (10min), Marseille et son aéroport (50min) et enfin le Parc Naturel des Alpilles (15min), ce qui en fait un lieu idéal pour les amateurs d'histoire, d'art et de culture, ainsi que pour les amoureux de la Provence. Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr VP622